Voici une séance ou mon Maître a approfondit mon dressage…premiere grosse punition, premier fist et premiers jeux d’uro….

Lorsque mon Maître est venu ce soir là, je ne pensais pas vivre une séance aussi éprouvante…. Pour commencé, j’ai du lui montrer les différents endroits que j’ai nettoyé, afin de vérifier si j’ai bien suivi ses ordres….Maître A n’a pas été satisfait du résultat….j’ai eu droit à une remontrance mémorable !

« Oui, tu as nettoyé, mais pas en profondeur ! Je veux une hygiène impeccable ! Tu as fais le choix d’avoir des animaux chez toi, tu as des gamins, tu dois assumer ! Ce n’est pas parce que tu réserves un endroit pour tes animaux que cela ne doit pas être nettoyé à fond ! Désormais, à chaque fois que je viendrai, je vérifierai tout ! Sache que si je constate le moindre laissé allé, tu en subiras les conséquences ! »

J’avoue que je me suis sentie comme une petite fille prise en flagrant délit…extrêmement honteuse…. Maître A m’a ensuite ordonné de me peser….c’est avec une grande crainte que je suis montée sur la balance ! bien que n’ayant dîner que d’un yaourt, j’avais fait un très bon repas à midi ainsi que la veille ! C’est avec grand soulagement que je réalisais que l’objectif que mon Maître m’avait donné a été atteint ! J’avais 500 grammes en moins…

Maître A m’a cependant de suite mis en garde…a chacune de ses visites, il faudra que j’ai perdu du poids !

Puis Maître A m’a rappelé que je devais recevoir une punition de 200 coups, pour avoir refusé qu’il s’occupe de mon petit trou la semaine dernière Il m’a demandé de me mettre en position puis a choisi la badine…je n’ai jamais réellement été battue à la badine ! Dès le premier coup, j’ai ressentie une vive brûlure et je n’ai pas pu m’empêcher de crier ! Au bout d’à peine quelques coup, j’étais en larme tant la douleur était forte ! Je criais que cela faisait trop mal, je pleurais, je suppliais ! Mais mon Maître a répondu :

« Tais toi ! Tu es en stage ! Tu veux devenir une bonne soumise, alors apprends à obéir à tous les moindres ordres que je te donnerai ! Et tous les 10 coups, je veux que tu me dises pourquoi tu es punie ! Compte maintenant » Et je me suis mise à compter, tout en pleurant durant toute la punition….et tous les 10 coup je disais « Je suis punie car je n’ai pas voulu que vous touchiez à mon orifice Maître »

Par moment Maître A me demandait de répéter « Je n’ai pas compris ! Répète ! » A d’autres moments Maître Ame demandait « Et pourquoi tu n’as pas voulu ? » Et dans un pleur, je répondais « Car j’ai eu peur d’avoir mal »

A ces moments là, je réalisais que malgré la douleur que pouvais me procurer un ordre de mon Maître, ce serait sûrement moins pénible que la punition qu’il était en train de m’infliger !

Au bout de 100 coups, Maître A m’a demandée de me lever….il m’a bondée la poitrine et a pris la cravache « Les 100 autres coups seront sur ta poitrine ! Compte »

Et la punition reprit de plus belle…non seulement, ma poitrine était encore sensible des coups de la semaine dernière, mais mon Maître m’a donné plusieurs coups sur les tétons….je me suis retrouvée à genou par terre tant la douleur était vive….

Le centième coup reçu, j’ai eu la présence d’esprit de remercier mon maître pour la leçon qu’il venait de me donner….mais, sans même me laisser le temps de souffler un peu et de récupérer, il m’a tenu par les cheveux et a baisé ma bouche….a ce moment là, je me suis vraiment sentie objet, rien qu’une chose, un jouet pour satisfaire ses désirs…. Puis mon Maître s’est mis debout devant moi, m’a serrée dans ses bras et m’a caressée en douceur en me disant des mots apaisants….je lui ai demandé l’autorisation de pouvoir m’isoler quelques minutes afin de pouvoir me calmer, puis je suis revenue à lui. La, nous avons discuté de cette punition…il a aimé me voir pleurer, non pas qu’il soit sadique, détrompez-vous,mais mes larmes sont la preuve que j’ai bien assimilé la leçon…

Il m’a aussi dit être fièr de moi, car je suis allée jusqu’au bout…effectivement, malgré mes larmes et mes supplication, nous avons un code, et un seul mot aurait suffit pour tout arrêté…mot que je me suis refuser à prononcer…je méritais cette punition, et je suis heureuse de l’avoir subit ! Je ne suis pas maso, mais ayant tendance parfois à faire prévaloir ma volonté, mon Maître sait me rappeler la condition qui est la mienne…une chienne soumise ayant pour devoir d’obéir….oui, j’admire mon Maître pour sa fermeté, et je le remercie pour l’éducation qu’il me donne ! Grâce à lui, je connais enfin ma place !

Puis Maître A m’a pris le menton, m’a embrassé et m’a dit :

« N’oublie pas, je veux une maison irréprochable et que tu perdes du poids. Sache que cette punition n’est qu’une pacotille si je devais constater le moindre laissé aller ! Maintenant, je vais m’occuper de tes orifices….tu auras un concombre dans ton petit trou, puis tu seras immobilisée sur la table, je vais te mettre la barre d’écartement et je vais t’attacher, et je vais te fister, ta chatte et ton cul » Mon Maître m’a introduit un concombre…je dois admettre qu’il est entré assez facilement, ayant travaillé mon orifice tous les soir durant la semaine !

Puis j’ai été attachée et tout en douceur, mon Maître a commencé à me travailler mon petit trou….malgré cela, ça a coincé…il m’a donc sodomisé en douceur et tout en me sodomisant, me laissant apprécier son sexe en moi, me laissant mouiller de plaisir il m’a fisté ma chatte…. Cela n’a pas été très difficile…puis il a continué à me caressé la chatte et a entré sa main dans mon petit trou….

Au moment où la main est entrée entièrement, la sensation a été horrible ! Non seulement l’orifice me brûlait par rapport à la dilatation, mais tout mon corps, sans que je puisse le contrôlé s’est contracté pour repousser la main de mon Maître…au point ou je me suis fait pipi dessus ! Satisfait, mon Maître a retiré sa main, et malgré la sensation que cela m’a procuré, j’étais fière d’avoir enfin réussie à accueillir sa main !

La séance s’est poursuivie avec des jeux d’uros, ce dont je ne m’attendais pas !

Mon Maître m’a emmené dans la salle de bain, m’a demandé de m’accroupir dans la baignoire et a commencé à m’uriner dessus…..j’avoue que j’ai aimée cette sensation de chaleur ruisseler sur mon corps ! Mais quand j’ai cru qu’il avait fini, il m’a pris par les cheveux et a ordonné

• « ouvre la bouche » La, je l’ai regardé, incrédule, ne réalisant pas tout de suite…j’ai ouvert la bouche et mon maître s’est remis à uriner…. -« avale » ! J’ai secoué la tête en l’implorant du regard, mais sa détermination était sans faille ! Il m’a baffé et a renouvelé son ordre -« avale » ! J’ai commencé a déglutir tout doucement et bien sur, j’ai eu un haut le cœur…a peine ai-je repris mes esprit qu’il a recommencé a uriner dans ma bouche avec le même ordre….

J’ai du avaler en tout deux ou trois gorgées, pas plus, je recrachais énormément, ce qui m’a valu d’être giflée a plusieurs reprises ! A peine a-t-il eu fini que j’ai rendu tout ce que j’avais avalé….ce qui me vaudra une seconde séance un peu plus tard dans la soirée…..

Encore accroupie dans la baignoire, mon Maître m’a ensuite baisée la bouche….Puis m’a ordonné de me laver et de le rejoindre au salon. Je dois avouer que cette séance d’uro m’a répugnée ! Et bizarrement, aujourd’hui, en le rédigeant , ce souvenir m’excite !

Non pas l’uro proprement dit, mais plus la façon dont j’ai été traitée ! Être obligée d’obéir à quelque chose qui me dégoûte, le fait qu’il ait transgressé une de mes limites, que je n’ai pas eu le choix…je ne sais pas comment l’expliquer, mais là je réalise que j’ai aimée !

Une fois propre, je l’ai rejoint dans le salon. Là, il m’a ordonné d’aller prendre la litière de mes chats, de la mettre sur mon balcon et de sortir….j’étais très gênée de me retrouver nue sur mon balcon ! Il m’a ensuite demandé de m’accroupir sur la litière et d’uriner….

Puis j’ai poussé la litière et il m’a mise a genou….une fois de plus, mon Maître m’a uriné dans la bouche en exigeant que j’avale….une fois de plus, j’ai grimacé, j’ai eu des hauts le cœurs et mon Maître a été obligé de me gifler…mais je n’ai pas rendu ce coup ci….

Mon maître m’a finalement fait savoir que la séance était terminée. Nous avons bu un verre, fumé une cigarette puis nous sommes allé nous coucher….

« J’atteste être l'auteur de cette histoire » J’atteste également que ceci a été réellement vécu

Cassi

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